Long Road To Ruin

Je fais un petit post, entre la lecture de deux commentaires stylistiques sur Baudelaire et Rimbaud. (Eh oui, les partiels arrivent à grands pas) Ces bellâtres de la poésie peuvent bien attendre un peu.

Parlons de choses sérieuses, parlons de fringues. Aujourd’hui je voulais parler du cas de la jupe liberty. (Oui, je sais, le liberty est partout. Mais il faut le dire, nous l’aimons tellement cet imprimé.) Néanmoins, c’est un petit coup de gueule qui se prépare ici. La calme avant la tempête. En effet, vous pouvez me voir ci-dessus, affublée d’une jupe à volant liberty tout à fait charmante. Mais bien sur, ce n’est pas la jupe que l’on voit « fleurir », si je puis dire, sur tous les blogs, à savoir : la jupe liberty Sandro. La première fois que je l’ai vu, c’était sur le blog de Mimnor et instantanément, j’ai renié la petite jupe que je porte ici. C’est devenu une obsession, je voulais cette jupe Sandro. Me voilà donc, le lendemain, au « Printemps » Lyon (oui, c’est moins classe que si j’avais dit : Printemps Paris, bref..) et quand je tombe sur le prix, j'ai presque un malaise (bon j’exagère, mais je n’étais pas moins indignée). La jupe coutait 125 euros et en regardant les motifs de près je me disais qu’ils n’étaient pas si lointains de ceux de ma propre jupe qui m’avait coutée 30 euros. (bon un peu plus jolis je vous l’accorde) Mais cela valait-il vraiment le coup une jupe si chère ? Et finalement non, j’ai gardé ma petite jupette. Puis, au final c’était plus l’étiquette « Sandro » et aussi le mimétisme qui m’ont poussé à aller voir. Je veux bien acheter des vêtements à 3 chiffres, mais alors un jupe liberty et en une matière pas plus originale que d’autres jupes, non.

Mais qu’on se comprenne bien, je suis très contente pour celles qui peuvent se la payer.

Mais qui est ce tigre derrière moi?

Et voici un nouveau bracelet liberty, très mignon, dégotté dans une petite bijouterie à Lyon, dont je reparlerai plus longuement, car c'est une vraie caverne d'ali baba.

Mon sac à main qui ne me quitte jamais.

Et pour finir, je vous présente le fameux tigre. Il s'agit de Ghinzu (peut-être certains d'entre vous connaitront le groupe de rock qui m'a poussé à l'appeler ainsi) le second petit homme de ma vie, le premier étant humain et nettement moins poilu.

Veste en jean : Kookai
Tee-shirt : Zara
Jupe liberty : Etam
Mocassins : Bensimon pour Eram
Sac : Kipling vintage
Bracelet liberty : Les Cleias
Les autres bijoux sont toujours les mêmes